[Cadeau] Anniversaire de François Descraques le 10 février !

Quand j'ai mal à la tête, c'est comme si j'étais bourrée:

Vis longtemps, vis heureux, en bonne santé si possible, et sois toujours aussi merveilleux.

Les anniversaires sont souvent le moment d'un étalage d'hypocrisie débectant, où tous ceux qui se foutent de toi en temps normal se pointent en essayant de faire croire qu'ils t'adorent et pensent souvent à toi.
(Hé oh, m'accusez pas de rager sur ma propre vie, je sélectionne mes potes pour éviter ces trous du cul.)
Mais nul doute que, parmi nous, pas un seul ne fera montre de cette hypocrisie. Nous t'adorons tous un peu trop pour être normaux, et c'est vrai qu'on pense souvent à toi, ça, personne ne le niera, j'ajouterais même que certains pensent un peu trop à toi.
(J'dis ça j'dis rien et ne cite personne et certainement pas Yao. Et que personne ne me dise que ça se réfère également à moi sinon je serais très colère.)

Un an de plus, c'est quoi ?
Pour moi, c'est un an de plus à te suivre avec amour, à rire et à sourire tous les jours grâce à toi et à ce moment-là de la phrase je me rends compte que je dois commencer à être flippante.
Pour moi, c'est l'occasion d'essayer de te gâter de cadeaux en douce en essayant de ne pas passer pour une groupie stalkeuse hystérique ce qui, j'en ai conscience, n'est pas très réussi.
Mais je ne suis pas la seule, hein ?

Et puis grâce à toi je vais apprendre à cuisiner autre chose que des gâteaux horriblement gras au Nutella ou au caramel au beurre salé !
(Je fais partie de ces personnes qui ne savent cuisiner que ce qu'elles aiment.)
Et grâce à toi je peux porter ce sourire béat qui m'étire les lèvres jusqu'aux oreilles et me provoque des crampes musculaires (vrai de vrai). Grâce à toi je peux rire. Il serait plus exact de dire que grâce à toi je sais rire, et sourire, et là ça vire doucement au mélodrame mais je me dois d'être exacte. Parce qu'avant je ne savais pas, tout simplement. Parce qu'avant toi rien ne me donnait envie de sourire ou de rire, et je ne pouvais que me forcer parfois pour qu'on me laisse tranquille. Et je t'ai découvert, et j'ai découvert cette drôle de sensation, j'ai souri, vraiment souri. Je n'ai pas pigé tout de suite, même si dit ainsi ça parait tellement stupide. Mais quand j'ai pigé je me suis mise à pleurer. Ça remonte à quelques années à présent.
Maintenant je souris et je ris.
Maintenant je prie pour que personne ne lise ça.
Maintenant vous pensez tous que je suis cinglée/irrécupérable.
Mais hé, c'est le bon moment pour le dire, non ? C'est quand même assez flatteur, je pense. Bon évidemment si je lisais un tel message m'étant adressé je sentirais une chape de responsabilités m'écraser de son poids, mais passons.

Reste comme tu es, ça me paraît un bon chemin à suivre.

C'est un de mes travers. Ecrire des pavés insipides que personne ne lit.
Je finirais donc par cette petite phrase qui peut paraître suspecte si on la considère d'un point de vue romantique, ce qu'elle n'est, je vous l'assure, pas.
(Si cette phrase n'est pas claire je vais être dans la merde.)

Je t'aime.

Et on allège l'ambiance avec des petits cœurs !

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(Je déteste la tablette de ma mère, son stylet plante.)
(Vivement que j'emménage.
Et vivement que j'ai un nouvel écran. Charlie pourquoi as-tu été assassinéééé...)
(En effet, j'ai donné un nom à mon écran. Ouais mais c'était un 23", plus grand que certains chiens.)
(Mais oui Kataiku, c'est toi que j'aime le plus, la preuve on est mariées, calme-toi.)
PS : Je fais un bisou à celui qui arrive à déchiffrer mon écriture.